[Linux] Pourquoi tant de haine :-)

[René Bastian]

Le Sun, 22 Apr 2012 21:06:07 +0200,
Serge Schmitt <sersch@::1> a écrit :

> Bonn'chouère,
> 
> Le samedi 21 avril 2012 à 23:45
>         René Bastian
> a écrit pour nous :
> 
> > OK. J'ai utilisé Kmail - et là, il y avait 4 grands fichiers
> > (inbox, sent, trash, draft). Chercher quelque chose dans ce
> > tas de foin est de la haute acrobatie (1). [etc]
> 
> Et dans les préférences ? T'avais jeté un oeil ? C'est la première
> chose que je fais quand j'essaye un logiciel....
> 
> Je m'escrime à le répéter depuis plusieurs années sur cette liste : 
> Kmail laisse depuis toujours - depuis 2003 en tout cas - le choix
> pour les boîtes aux lettres entre deux formats : mailbox, un fichier
> par BAL, (ton tas de foin...) et le format maildir où chaque mail est
> un fichier et chaque boîte aux lettres un simple dossier.
> Bouhouhouhouh !
> 
> Et à chaque création de boîte aux lettres, il offre le choix, ça ne
> peut pas en plus pas se rater !
> 
> > Seul Sylpheed, dont le successeur est Claws, affectait
> > à chaque message un fichier, ce qui permet la recherche.
> 
> Faux, comme dit.
> 
> Il n'y avait qu'à regarder dans les préférences, ce qui est un
> minimum, non ?
> 
> Ça fait des années que je manifeste ici à répétition mon goût pour
> les fichiers séparés comme une des principales causes de mon
> attachement à Kmail et cause entre de mon refus de solutions
> mozilla-familly ou Mail. par exemple. J'en fait encore la remarque
> juste un peu plus haut dans le message même auquel tu as répondu.
> 
> Si tu ne t'est toujours pas rendu compte que tu pouvais avoir des 
> fichiers séparés pour tes courriels dans Kmail alors tu ne peux t'en 
> prendre qu'à toi-même, et depuis longtemps, et na ! :-)

OK - mon Kmail (sur un ordi des années 90) date aussi du siècle
dernier. 

> 
> Quant au grand public, il s'en tape de savoir si les fichiers sont 
> individuels ou pas, vu qu'il utilise outlook express qui se sert d'un 
> seul et unique fichier. Enfin à mon époque... :-)
> 
> Désespérément,

C'est le mot. 

> Serge



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René Bastian
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