[Linux] De la =?iso-8859-1?Q?libert=E9_des_oeuvres_?=(ex:Re: bilan des installations et compte-rendu)
zirst@::1
zirst@::1
Dim 22 Déc 09:56:09 CET 2013
> Le 20/12/2013, zirst@::1<zirst@::1> a écrit :
>
>>> Ben oui ben non : c'est une question de motivation avant tout. Si on
>>> en a envie, alors on se forme sans même y penser.
>>>
>> bien sûr, et si on a pas envie, on se forme parce que c'est nécessaire.
>> Dans tous les cas, on se forme !
>
> Ça, c'est ton choix personnel. Il ne serait pas toujours judicieux.
>
«il ne serait», référence à ?
>
> Par ailleurs les situations de piège "absolu" qui semblent t'obséder
Non, c'était simplement pour donner une réalité concrète car vous
qualifiez ma vision d'imaginaire. À la rigueur, ce qui m'inquiète le plus
obsessivement est l'asservissement.
> sont plus que rarissimes dans le monde occidental et y ont une
> probabilité d'occurence proche de zéro actuellement.
référence nécessaire
> Certes, si on
> continue à détruire les États, ces situations pourraient redevenir
> plus fréquentes.
Au contraire que les états se renforcent et que là où on avait à peu près
des états de droit, on a aujourd'hui de plus en plus des états de police.
On pourrait même voir un seul état mondial totalitaire oligopolistique
(accroissement des interventions multi-pays dans les coins «apparemment
craignos», contrainte des peuples malgré une soit-disante
auto-détermination, etc.).
> Quoiqu'il en soit 1. le piège a peu de chance de se
> produire. 2. les délais ou la situation peuvent rendre l'idée de
> formation illusoire. (devenir un combattant de rue aguerri en trois
> secondes et demie...) 3. Le risque zéro n'existe pas. 4 etc.
>
(1. = 3.) oui et ? Est-ce une raison pour encourager un terrain propice à
augmenter cette probabilité ?
(2. ) justement, pour ne pas devoir le faire en 3,5 secondes, on peut se
préparer en ayant l'attitude d'apprentissage.
>
> Si on a besoin d'une voiture demain, on ne peut pas choisir de se la
> construire. Si on a besoin d'un contrat d'assurance et qu'on n'est pas
> au moins agrégé en mathématiques statistiques, on n'a que le choix de
> faire confiance à l'un des assureurs qu'on aura consulté.
>
Je poursuis. À nouveau, oui. Mais à nouveau, je répète que cet
«ordinateur» n'a pas la même importance que les autres car il est
omniprésent et omnipotent (sachant le pouvoir qu'on les marchés, comment
interpréter que 70% des ordres soient donnés par uniquement des algos et
des machines ?)
>
> Nous sommes aussi des millions dans le même cas que moi rien que dans
> notre pays : les médecins et en générale la médecine m'ont plusieurs
> fois sauvé la mise et/ou évité d'atroces souffrances. Aurions nous dû
> nous en remettre au DIY ????
>
Disons qu'on manque de recul, mais peut-être. Est ce qu'autrefois, la
saignée était une bonne pratique médicale ou un DIY aurait-été mieux ? Pas
sûr qu'aujourd'hui on fasse mieux (ex : avec les antibiotiques).
>
> Comme pour l'histoire du garagiste abusif de Christophe que vous avez
> confondu avec un piège sans issue tu feins aussi sans cesse d'ignorer
> toutes les autres stratégies ou attitudes (évitement, contournement,
> etc)
>
non, je dis simplement que pour éviter ou contourner, il faut voir
l'obstacle.
>
> Sinon, Christophe et moi on s'évertue à te répéter que tu te fous de
> toutes façons le doigt dans l'?il à cause de l'irréversible division
> du travail et de la dimension des sociétés qui le rend ton choix
> d'attitude (quelle obsession !) non obligatoire, de la
> complexification du savoir qui le rend impossible, et à cause de la
> diversité des personnalités. Ton rêve imagine une attitude universelle
> inévitable qui de ce fait ne respecte pas le
> notion d'individu. Il me semble donc qu'à minima tu devrais arrêter de
> croire systématiquement tout ce que tu imagines.
>
réponse dans le mail précédent.
>
> Dans cet ordre d'idée je vais aussi répondre à ton autre assertion
> abusive dans un précédent au sujet du gros con que tu serais : ce
> n'est pas du tout ce que je pense et encore moins ce que j'ai écrit.
>
> Premièrement affirmer qu'une assertion est une connerie ne définit pas
> la personne qui l'a exprimée mais juste l'assertion. Par contre si de
> ton côté tu penses ne pas pouvoir dire de conneries, ce n'est pas de
> la connerie mais plutôt de l'illusion sur soi-même. Si ça perdurait à
> l'âge de raison, il y aurait risque (rarissime certes) de mégalomanie.
>
bon ok, mais quand tu écris «J'ai déjà entendu des c...ies hallucinantes
sur les listes, mais tu es un des meilleurs dans ce domaine !!!», ton
propos n'est aussi… nuancé.
>
> Deuxièmement si j'avais à exprimer quelque chose de cet ordre je
> n'aurais pas utilisé gros con. Comme tu es de toute évidence
> intelligent, j'aurais plutôt utilisé une des expressions imagées de
> mon père : "Con comme un jeune chien", faisant référence à l'
> impétuosité et au manque de réflexion dûs à l'inexpérience plus qu'à
> quelque chose de constitutionnel.
>
donc en résumé 1. je ne suis pas un gros con, 2. je suis par contre con
comme un chien. Effectivement, ça change tout.
>
> En tout état de cause "laissez-les vivre" s'appliquerait même aux gros
> cons.
>
merci pour eux (enfin si j'ai bien compris en tant que con comme un chien)
>
> Quand j'étais élève ingénieur, on m'avait appris qu'un ingénieur
> devait passer entre le tiers et la moitié de son temps à vérifier ses
> propres calculs. Je ne l'ai jamais oublié, même 55 ans plus tard.
>
tu étais élève ingénieur à 12 ans ?
>
> C'est pareil voir pire pour tout ce que nous pensons pouvoir prouver
> par la seule "puissance" de notre réflexion.
>
bien sûr, je donne des arguments, pas des vérités absolus. On me répond
c'est faux en prenant des exemples qui n'ont rien à voir ou par des
arguments d'autorité. Si je ne peux pas dire que j'ai raison, je peux non
plus dire que j'ai tort. Du coup, j'essaie d'expliquer autrement et de
donner des cas concrets pour expliquer ma vision. Mais vous voyez dans les
exemples des fin en soi et du coup on épilogue sur ces détails en oubliant
l'essentiel. Et en plus tu déformes mon propos. (ex : ce n'est pas «mon
rêve» qu'il fait nécessité d'apprendre, c'est la conclusion au
questionnement «comment être (ou devenir plutôt) libre ?» à laquelle je
suis arrivé).
Plus d'informations sur la liste de diffusion linux